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samedi 12 mai 2012

Austérité - Grèce, énième reunion de la derniere chance

La Grèce s'apprête à revoter puis à sortir inéductablement de la zone euro, elle ouvrira d'ailleurs la porte à d'autres pays qui devraient saisir l'occasion de fuir une zone euro qui nuit aux peuples d'Europe avec sa monnaie spoliatrice depuis plus de 10 ans.

vendredi 4 mai 2012

6 mai 2012 - la #Grèce vote pour sortir de la zone #euro


A la Sainte-Prudence, le 6 mai, le peuple grec pourrait s’opposer au diktat de Bruxelles, au FMI, à la Troïka pour retrouver sa souveraineté et déclencher un mouvement similaire dans tous les pays de la zone euro actuellement aux mains des politiques de la dictature de l’austérité.

Ce dimanche 6 mai 2012, il y aura donc deux élections. La première donnera l’occasion aux Français d’élire un président de la République par défaut et/ou de voter blanc, la seconde élection donnera la possibilité au peuple grec de s’exprimer -enfin- démocratiquement lors des élections législatives helléniques. La Grèce pourrait par conséquent redonner naissance à la démocratie après l’avoir aliénée au sein de la zone euro.

Comme le stipule le reportage diffusé ce matin (4 mai 2012) sur BFM Business, « la Grèce joue son avenir [...] l’issue de ce scrutin pourrait rapidement devenir explosif pour l’ensemble de la zone euro ! »

samedi 7 avril 2012

Le peuple souverain irlandais refuse de payer plus d'impôt


Le 4 avril 2012, Bernard Aybran, directeur de la Multigestion d’Invesco AM, est intervenu dans la chronique « L’œil du stratège » dans l’émission matinale « Intégrale Bourse » diffusée sur la chaîne BFM Business.
Il a été interrogé sur la situation des marchés financiers, de la zone euro et du prochain référendum sur l’approbation ou non du nouveau Pacte budgétaire européen par les irlandais. Dès le début de son intervention, Bernard Aybran met les petits plats dans les grands, il nous informe, nous français, que les irlandais ne se laisse pas dicter les successives cures d’austérité. Il pointe le fait que les Irlandais ont refusé en bloc de payer l’impôt tout récemment.
« Le peuple irlandais a voté a voté d’une manière assez particulière contre c’est-à-dire, il a majoritairement refusé de payer un impôt. Il y a un nouvel impôt qui avait été crée dans le cadre du dernier plan d’austérité en date, il y en a eu 5 en 4 ans. Le dernier en date a instauré un nouvel impôt qui était 100 euros pour tous les ménages uniformément, c’est une taxe foncière. Il se trouve que de l’aveu même du gouvernement irlandais, 50 % des ménages n’ont pas payé cette taxe foncière, c’est la grève des impôts, c’est quand même assez nouveau ! Je ne sais pas si l’on pourra faire cela en France bientôt ? En tous cas, la moitié des ménages irlandais n’ont pas payé cette nouvelle taxe foncière »

On peut s’étonner gravement de l’absence dans les médias français qu’une telle information éminemment importante qui concerne un pays membre de la zone euro n’est pu être relevée dans les journaux télévisés des principales chaînes d’information.

Les irlandais démontrent encore une fois que le peuple est souverain, que la voix du peuple français que défend Marine Le Pen peut l’être tout autant et ainsi être respectée en France. Un peuple qui refuse de payer l’impôt c’est une société dont les gouvernants, les politiques avancent à l’encontre du peuple.

Retour à la réalité économique des dettes en Europe


Les 1.000 milliards d'euros injectés dans le système bancaire européen entre décembre et février, l'argent de la Banque Centrale Européenne a servi les banques, pas l'économie.

lundi 12 mars 2012

Défaut de la Grèce et CDS - Olivier Delamarche réagit sur BFM Business



Olivier Delamarche, associé gérant chez Platinium gestion, est l’invité du plateau de l’émission quotidienne « Intégrale bourse » sur BFM Business. Il nous fait part de son avis au sujet de la situation de la crise grecque, du niveau de participation de l’échange de dette dans l’attente de la déclaration de l’ISDA (Association internationale des Swaps et dérivés).

« Je vous dis à tous, bienvenue au club, on va tous payer et on paiera cher [...] Les banques grecques qui ont apportées la dette qu’elles détenaient. Aujourd’hui, il va falloir les recapitaliser parce qu’elles sont mortes avec ce qu’elles ont fait ! »

Il confirme que tout ce ramdam financier n’apporte aucune solution à la Grèce puisqu’«on est passé d’un endettement de la Grèce par rapport à son PIB de 161 % au 31 décembre 2011 à 159 % au 31 décembre 2012. »