lundi 12 mars 2012

Le délire fiscale de Sarkozy à Hollande !



Mis à part le fait que les frères siamois du système UMPS balancent des mesures inapplicables à des heures de grande écoute à la télévision avec l’objectif prioritaire de tromper les Français, on assiste à un numéro de cirque vite fait démonté par les économistes !

Ce que propose Sarkozy et Hollande en manière de fiscalité est ahurissant de délire comme le souligne le reportage ci-dessous.

Que ce soit la taxe sur le chiffre d’affaires de Sarkozy qui pousse à délocaliser le siège social ou encore la taxe sur les hauts revenus de Hollande qui ne serait pas appliquée (voir la vidéo), des promesses irréalistes en ces temps où il y a en France un exilé fiscal par jour !

Faut-il pousser les riches à quitter le territoire en ces temps où l’on recherche les moyens de nous financer et d’investir ?

L'Europe Federale c'est quoi ? c'est la crise en pire !



Europe Fédérale, c'est quoi ? c'est l'accentuation de la crise de l'euro, le pillage et muselage des peuples d'Europe pour faire simple avec l'énorme argument mensongé que ce modèle va créer .... de la croissance et de l'emploi, plus c'est mieux ça passe !

Oui, l'Europe Fédérale est en train de prendre forme sans l'autorisation suprême des Peuples des nations européennes.

Les frères siamois de l'UMPS, de Sarkozy à Hollande ainsi que leurs ramifications politiques tentaculaires, se cachent bien d'en informer les français, de s'exprimer dans les médias. Et pour cause, ils cautionnent parfaitement le projet idéologique d'une Europe Fédérale inhumaine et parfaitement anti-démocrate qui s'empare des pouvoirs des nations contre l'aval des peuples, c'est la perte, la dépossession de la souveraineté suprême, l'impossibilité de décider de son avenir, l'exemple grec est par conséquent criant de vérité, la pression sur l'Italie avec une démission forcée du président du conseil, l'Espagne devrait s'en méfier !

Alors qu'est-ce donc que l'Europe fédérale ? Quelles en sont les conséquences concrètes pour les français et les peuples de chacun des nations au sein de l'Europe des 27 ou des 26 ?

Nicolas Bouzou, directeur du cabinet de conjoncture économique Astérès, européiste affirmé, déclare «il y a des mécanismes de surveillance justement qui sont contenus dans ce traité (...) ça nous fait entrer dans une Europe fédérale, je pense que c'est quelque chose qui a été complètement sous-estimée et dont on ne parle pas, ce qu'on est en train de signer là c'est un accord qui a de très fortes composantes supranationales»

Il prend un exemple fort intéressant pour souligner la perte du pouvoir de décision d'un État «Si on voulait refaire la TVA dans la restauration c'est interdit, si on veut remettre la retraite à 60 ans c'est interdit, c'est désormais sorti des choix politiques nationaux, il faut que cela soit dit !»

La Grèce, entre défaut et faillite son coeur balance

mercredi 7 mars 2012

Après le défaut de la Grèce, la valse espagnole et italienne



Le journal américain, WallStreet Journal titre en Une : «Greece Ready To Force Swap On Creditor»

Il a été indiqué un peu plus tôt ce matin que le lobby bancaire chiffre «une éventuelle faillite désordonnée de la Grèce, document confidentiel, enfin confidentiel, en tout cas document révélé hier par Reuters.
- C'est l'institut de la finance internationale qui évalue à 1.000 milliards d'euros, un défaut, une faillite de la Grèce.
- Plus de 700 milliards pour la Grèce et pour les autres pays européens directement impactés.
- 177 milliards pour la Banque centrale européenne (BCE)
- et 160 milliards pour les banques en terme de coût de recapitalisation,
- mais le plus gros serait des aides d'urgence qu'on serait obligé d'apporter dit le lobby bancaire à l'Espagne et à l'Italie pour justement de contenir l'incendie et le maintenir sur le seul territoire grec.»

lundi 5 mars 2012

Chronique de Nicolas Doze au sujet de la Grèce, des créanciers, du défau...



Dans sa chronique hebdomadaire, Nicolas Doze revient ce jour sur l'interminable crise en Grèce. Il rappelle que la Grèce c'est un Peuple de 11 millions de personnes qui représente 3% du Produit intérieur brut à l'échelle européenne. Il relate avec ironie que les créanciers grecs vont devoir accepter de «bien vouloir abandonner 73% de la dette que leur doit la Grèce».

Il explique que si les créanciers n'approuvent pas leurs pertes, la Grèce fera tout simplement défaut et les CDS - Crédit défault swap (primes d'assurances) seront activés. Il précise que c'est le souhait des Hedge Fund (fonds de couverture) «qui font partis des créanciers privés de la Grèce.»

Stéphane Soumier, le présentateur de Good Morning Business, renchérit sur la circonstance et lui demande «Et est ce que l'on ne peut pas faire un peu de provocation dire qu'on le souhaite ? qu'on en finisse, qu'on en sorte avec l'ensemble de ces âneries, qu'on en sorte avec l'ensemble de ces semaines décisives»

Nicolas Doze répond : «(...) passons à l'acte, admettons que le MES, mécanisme européen de stabilité, c'est le point de départ des Etats-Unis d'Europe et des euro-bonds, allons jusqu'au bout du processus, disons si on veut garder l'euro ou l'abandonner ?»

La Grèce, l'histoire du Phœnix



Ce matin sur BFM Business, on apprend que les créanciers privés doivent se prononcer avant jeudi soir 20h (8 mars 2012), pour savoir s'ils acceptent ou pas de participer à l'effacement de la dette grecque.

Le reportage sur les CDS grecs (Crédit default swap) qui accompagne le reportage est commenté par Caroline Morisseau

Marine Le Pen invitée du JT20h sur FR2-010312



Marine Le Pen, candidate pour la défense de la France et de tous les Français à l'élection présidentielle de 2012, est l'invitée du Journal de 20h présenté par Julian Bugier sur France 2.

De plus en plus de femmes soutiennent Marine Le Pen 2012

dimanche 26 février 2012

Payez l'addition grecque sinon c'est la guerre ? c'est ça l'excuse ?



Et si la Grèce était à l'origine d'une nouvelle guerre allant jusqu'à l'Iran ? C'est le nouvel argument pondu dans les hautes sphères par les élites mondialistes dans l'objectif de faire payer aux peuples de l'UE l'addition de leurs errances. Il est vrai que plus c'est gros plus ça passe... http://www.nationspresse.info/?p=161701

Bilan - Mon œil louche sur le tamdem SarkHollande



Humour ... lol

Jean-Pierre Petit fait une suggestion à Marine Le Pen



Au sujet du projet de Marine Le Pen, Jean-Pierre Petit, président des Cahiers Verts de l'économie est l'invité de l'émission Les Experts sur BFM Business le 24 février 2012.

Il déclare : «Si Marine Le Pen nous dit demain, je veux faire des réformes en terme de compétitivité sur le marché du travail, sur le secteur public, sur les taux d'emplois sur les jeunes, le seniors, voilà si on veut vraiment restaurer la compétitivité et pour cela j'ai besoin de la baisse de la valeur de la monnaie pour accompagner le processus, effectivement son offre serait crédible.»

vendredi 24 février 2012

Sarkozy fait encore des promesses, les économistes s'expriment


Après l’intervention de Nicolas Sarkozy sur France 2 qui propose de supprimer les cotisations salariales des feuilles de paie, il convient de prendre connaissance de la faisabilité d’une telle mesure dans l’état actuel de l’économie et des finances de la France.

Dans l’émission le « 12-15 » diffusée sur BFM Business, Emmanuel Lechypre, économiste et rédacteur en chef du service Economie générale de L’Expansion, revient sur les promesses explicitées par le président sortant. Interrogé par Edwidge Chevrillon, il expose dans le détail l’application et le coût de telles mesures avec leurs conséquences. lire la suite

mercredi 22 février 2012

MES ratifié - le gouvernement UMPS n'assument pas leurs actes



Invité de l’émission « Good Morning Business » ce 22 février 2012 sur la chaîne BFM Business, le député UMP Hervé Mariton est interrogé sur la ratification silencieuse et choquante du MES (le Mécanisme européen de stabilité) à l’Assemblée Nationale sans qu’il n’y ai eu de débat public avec les Français ! Lire suite

Olivier Delamarche - là où la Troïka passe, l'économie trépasse



Au sujet de savoir si la Grèce va éviter une sortie de la zone euro, il répond clairement « ah non surement pas ! il n'y a rien de réglé, c'est reculer pour mieux sauter c'est tout, mais au passage ça nous aura coûté 130 milliards de plus !»