lundi 5 mars 2012

Chronique de Nicolas Doze au sujet de la Grèce, des créanciers, du défau...



Dans sa chronique hebdomadaire, Nicolas Doze revient ce jour sur l'interminable crise en Grèce. Il rappelle que la Grèce c'est un Peuple de 11 millions de personnes qui représente 3% du Produit intérieur brut à l'échelle européenne. Il relate avec ironie que les créanciers grecs vont devoir accepter de «bien vouloir abandonner 73% de la dette que leur doit la Grèce».

Il explique que si les créanciers n'approuvent pas leurs pertes, la Grèce fera tout simplement défaut et les CDS - Crédit défault swap (primes d'assurances) seront activés. Il précise que c'est le souhait des Hedge Fund (fonds de couverture) «qui font partis des créanciers privés de la Grèce.»

Stéphane Soumier, le présentateur de Good Morning Business, renchérit sur la circonstance et lui demande «Et est ce que l'on ne peut pas faire un peu de provocation dire qu'on le souhaite ? qu'on en finisse, qu'on en sorte avec l'ensemble de ces âneries, qu'on en sorte avec l'ensemble de ces semaines décisives»

Nicolas Doze répond : «(...) passons à l'acte, admettons que le MES, mécanisme européen de stabilité, c'est le point de départ des Etats-Unis d'Europe et des euro-bonds, allons jusqu'au bout du processus, disons si on veut garder l'euro ou l'abandonner ?»

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