lundi 12 mars 2012

La Grèce, un défaut à demi mot



Ce matin à 7h, la Grèce a annoncé que le taux de participation à l’échange de dette avait atteint 83,5 %.

Selon Caroline Morisseau, journaliste sur BFM Business :
« 172 milliards de titres apportés [...] si on fait le compte à 53,5 % de décote, on n’atteint pas les 100 milliards donc le compte n’y est pas ! Donc on déclenche les fameuses clauses d’actions collectives, on force tout le monde à y aller pour gonfler un petit peu la facture, on oblige l’ensemble des créanciers privés à y aller pour effacer suffisamment de dette et, selon la communication du gouvernement grec, il pourrait même revoir un peu les conditions du plan et montrait finalement à une décote de 74 % et non plus 72 %. »

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